Plusieurs études parues durant les dernières semaines montrent que l’image de marque des banques reste dégradée et que les actions qu’elles mènent dans le cadre du développement durable ne parviennent pas forcément à la redresser.

Le baromètre Ipsos de l’image des grandes entreprises françaises confirme la passe difficile que connaissent toutes les banques et particulièrement les 3 grandes (LCL, Société Générale et BNP), les acteurs mutualistes tirant mieux leur  épingle du jeu.

Banques_ipsos_image_de_marque_barometre

Paradoxalement, cette perte de confiance ne disqualifie pas les banques aux yeux des français sur les problématiques de développement durable. Comme l’indique cette étude Sofres / HSBC, elles ne sont pas en 1ère ligne au vu de leur activité, mais elles le sont en tant qu’acteur majeur de l’économie et de la société. Les français attendent donc que les banques financent des projets responsables, qu’elles contrôlent les risques et limitent la spéculation et qu’elles agissent avec leurs clients de façon éthique et transparente.

Etude_HSBC_TNS-Sofres_comment_les_banques_peuvent_construire_un_monde_durable

Au final, même si les banques s’investissent dans le développement durable, elles ne sont pas sûres d’en tirer un avantage en terme de réputation sur internet comme le montre cette étude de Sésame. Là aussi, les banques mutualistes bénéficient d’un meilleur a priori des internautes !